Le décès d’un parent provoque l’ouverture de sa succession.
Si généralement, les héritiers parviennent à s’entendre, tel n’est pas toujours le cas.
En effet, ce décès peut faire ressurgir des mésententes ou même en créer, lorsque par exemple les choix (ou l’absence de choix) faits par le défunt pour organiser sa succession, questionnent.
A cet égard, et à défaut d’accord entre les parents, saisir le Juge aux affaires familiales peut s’avérer être une nécessité pour sécuriser les rapports entre les parties.
Diverses situations peuvent, alors, se présenter et aboutir potentiellement à un véritable blocage
- les indivisaires (héritiers) ne parviennent pas à communiquer et le temps passe sans parvenir à sortir de cette impasse.
- l’un des héritiers est passif et ne prend pas position.
- les propositions de partage de certains indivisaires ne conviennent pas à tous.
- un testament est contesté.
- le contenu de la succession vous questionne…
A défaut d’accord devant le Notaire en charge de la succession, le constat de difficultés persistantes amènera généralement à saisir le Tribunal judiciaire du lieu d’ouverture de la succession.
La présence d’un avocat à vos côtés est alors une obligation.
Il s’agit de procédures souvent longues et douloureuses, pour lesquelles un véritable soutien est, au surplus, nécessaire.
Maître Vanessa ISSELIN-TEURKI vous accompagnera tant dans les démarches amiables, si elles sont encore possibles, que devant le Tribunal compétent, en demande si vous êtes à l’origine de la procédure, ou en défense si c’est vous qui êtes poursuivi.